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Mélanie et le développement, une histoire de passion

Mélanie, responsable de projets en développement, chez Solog depuis plus d’une dizaine d’années.

Bonjour Mélanie, quelles sont tes missions ?

En tant que responsable de projets, mes missions sont très diversifiées et reposent principalement sur notre produit phare Mobil outils, une solution logicielle de gestion dédiée aux professionnels de terrain. Je suis en charge d’organiser les prochains développements, de prendre en compte les retours réguliers de l’équipe technique, sans oublier les attentes de nos clients et prospects sur les futures versions. En fonction de ces retours, nous décidons des nouveaux développements à réaliser sur les prochaines versions. 

Comment es-tu arrivée chez Solog ?

Je suis sortie de l’école en Juin 2005. J’ai intégré eABSolu en Septembre 2005 en tant que développeuse. Après un rachat et quelques changements de noms, je suis désormais ici ! (rires) D’ailleurs, j’étais la première développeuse de mon ancienne société !  

« La cerise sur le gâteau c’est de voir un client content de son produit. C’est une énorme satisfaction pour moi. »

Quelle est ta plus grande fierté à ce jour ?

Après toutes ces années, je dirais que c’est le fait d’avoir participé à des projets depuis leur début. Certains d’entre eux sont encore d’actualité, et c’est vraiment satisfaisant. La cerise sur le gâteau c’est de voir un client content de son produit. C’est une énorme satisfaction pour moi.

« J’aime comprendre la problématique utilisateur et travailler sur la solution qui y répondra le plus facilement possible. Et c’est ce qui fait que Mobil outils est proche de ses clients en matière de fonctionnalités. »

Après tant d’années, qu’est ce qui t’intéresse le plus aujourd’hui ?

Cela n’a pas bougé depuis mon premier jour ! J’aime comprendre la problématique utilisateur et travailler sur la solution qui y répondra le plus facilement possible, avec des astuces qui apportent une vraie plus-value. Et c’est ce qui fait que Mobil outils est proche de ses clients en matière de fonctionnalités.

Tu es dans la société depuis 2005. Cependant, comment as-tu réussi à créer ta place au sein de la société ?

Quand je suis arrivée, nous étions que trois. L’équipe s’est construite petit à petit. À l’époque, j’étais une des seules personnes qui connaissait le projet de A à Z et qui pouvait gérer l’aspect technique. Mon intégration s’est donc faite naturellement. Aujourd’hui, je fais de même avec les nouveaux collaborateurs. J’essaie de répondre au mieux à leurs attentes et de les accompagner.

« Solog est une vraie famille. Il y a une solidarité sans faille entre nous. Cet état d’esprit nous permet d’aller plus loin. »

Avec le recul, que penses-tu de Solog ?

Solog est une vraie famille. Nous avons toutes et tous le même but : satisfaire le client et répondre à son besoin. Nous avons la chance d’aimer notre produit, nos tâches que l’on fait au quotidien. Il faut le souligner, il y a une solidarité sans faille entre nous. Cet état d’esprit nous permet d’aller plus loin.

Que dirais-tu à une jeune femme qui hésiterait à se lancer dans tes études ?

Je ne suis pas la bonne personne (rires). Car j’ai fait un bac littéraire avant de m’orienter vers l’informatique (rires). La femme est encore peu représentée dans ce secteur. Mais aujourd’hui, la tendance commence à s’inverser. Je dirais à cette jeune femme de se lancer sans hésitation. Le développement est une logique d’esprit, il faut avoir confiance en soi et être motivée.

Quel conseil donnerais-tu à un nouveau/elle collaborateur/trice ?

Au sein de notre équipe, je lui dirais de prendre son temps. Il est important de bien tout assimiler. Ce n’est pas évident de prendre en main une solution mise en place depuis de nombreuses années. Il ne faut pas avoir peur d’être curieux, nous répondrons à l’ensemble de ses questions.

Dans mon métier, j’aurais un autre conseil à lui donner. Il est important de bien analyser le code et le développement que nous utilisons, de chercher par soi-même et de comprendre notre mode de fonctionnement. Après cette étape, l’évolution se fait plus rapidement.